On en mangerait, du cocido, en lisant ça sur Blog note ou webzine !
Ça me fait penser, en fait, à une choucroute allemande que la mère d'une amie nous faisait il y a longtemps...
Ça me fait penser, en fait, à une choucroute allemande que la mère d'une amie nous faisait il y a longtemps...
Libération a fait un article pour parler du déclin de Facebook....
Parler de Facebook est un moyen d'attirer l'intérêt des lecteurs ; annoncer sa fin augmente l'intérêt, surtout que sur le long terme, on finit toujours par avoir raison ; et plus on a raison tardivement, plus on a exploité le sujet. Si Libération existe encore dans dix ans, ils pourront exploiter les causes du déclin de Facebook ad nauseum.
Parler de Facebook est un moyen d'attirer l'intérêt des lecteurs ; annoncer sa fin augmente l'intérêt, surtout que sur le long terme, on finit toujours par avoir raison ; et plus on a raison tardivement, plus on a exploité le sujet. Si Libération existe encore dans dix ans, ils pourront exploiter les causes du déclin de Facebook ad nauseum.
Ravie de t'avoir revue, et tu le sais ! Mais pas le temps de poster. Promis, je suis plus disciplinée !
Petits biscuits.
Voilà l'un des tous simples petits plaisirs de ma journée : dans le thé, tremper de petits biscuits qui se ramollissent délicieusement et que je récupère à la cuillère...
J'adore.
Ça me rappelle quand j'étais enfant.
J'adore.
Ça me rappelle quand j'étais enfant.
L'hiver m'a tuer...
C'est la première fois que je ressens ça. Je suis épuisée de l'hiver, j'en ai marre, je veux du printemps, de la fleur, du rose, du rouge, du jaune....
Fatiguée
Fatiguée soudain, surtout mentalement car ...
Bon c'est un peu long. Disons que dans mon entourage amical je fais de gros efforts pour supporter une personne que j'apprécie peu mais qui est en relation avec d'autres que j'apprécie beaucoup. Je ne veux pas laisser mes humeurs et gouts influer sur mes relations totalement, ne pas me laisser emporter par la colère. Ou l'intolérance.
Mais supporter cette personne me devient de plus en plus pénible au point que je remets en cause mes amitiés : si mes amies peuvent supporter cette personne, est ce que nous sommes bien faites pour être amies ?
Cette pensée, finalement, me perturbe plus que la pensée de la fille qui m'agace. Car j'ai déjà un peu connu ça. J'avais alors découvert qu'une personne avec qui je m'entendais bien n'était pas celle que je croyais, pas un monstre, mais juste pas celle que je croyais. Et le problème c'est qu'en le découvrant je me suis fait toutes sortes de réflexions : après tout, c'est moi qui avait fait l'erreur, moi qui aimais bien la fille et qui ensuite me sentait moins à l'aise. Mais progressivement, j'ai senti une distance venir entre moi et mon amie, mais je restais toujours aimable et sympa pour maintenir de bons rapports. Mais ça devenait faux. Chaque année nous séparait un peu plus : je n'aimais pas trop son mari, je ne comprenais pas ses rapports avec lui, elle me racontait des trucs qui me paraissaient inacceptables, quand je lui disais doucement elle montait sur ses grands chevaux, alors je ne disais rien... c'était affreux. La mort d'une amitié, en direct, peu à peu.
Mais ça me blessait moins parce que je n'avais pas la même impression, mais pourquoi ? Là, j'ai vraiment l'impression que ces amitiés sont ma vie même, et les remettre en question me fait chanceler. Dans le cas que j'ai évoqué avant, c'était une très bonne amie, mais moins primordiale pour moi...
Bon c'est un peu long. Disons que dans mon entourage amical je fais de gros efforts pour supporter une personne que j'apprécie peu mais qui est en relation avec d'autres que j'apprécie beaucoup. Je ne veux pas laisser mes humeurs et gouts influer sur mes relations totalement, ne pas me laisser emporter par la colère. Ou l'intolérance.
Mais supporter cette personne me devient de plus en plus pénible au point que je remets en cause mes amitiés : si mes amies peuvent supporter cette personne, est ce que nous sommes bien faites pour être amies ?
Cette pensée, finalement, me perturbe plus que la pensée de la fille qui m'agace. Car j'ai déjà un peu connu ça. J'avais alors découvert qu'une personne avec qui je m'entendais bien n'était pas celle que je croyais, pas un monstre, mais juste pas celle que je croyais. Et le problème c'est qu'en le découvrant je me suis fait toutes sortes de réflexions : après tout, c'est moi qui avait fait l'erreur, moi qui aimais bien la fille et qui ensuite me sentait moins à l'aise. Mais progressivement, j'ai senti une distance venir entre moi et mon amie, mais je restais toujours aimable et sympa pour maintenir de bons rapports. Mais ça devenait faux. Chaque année nous séparait un peu plus : je n'aimais pas trop son mari, je ne comprenais pas ses rapports avec lui, elle me racontait des trucs qui me paraissaient inacceptables, quand je lui disais doucement elle montait sur ses grands chevaux, alors je ne disais rien... c'était affreux. La mort d'une amitié, en direct, peu à peu.
Mais ça me blessait moins parce que je n'avais pas la même impression, mais pourquoi ? Là, j'ai vraiment l'impression que ces amitiés sont ma vie même, et les remettre en question me fait chanceler. Dans le cas que j'ai évoqué avant, c'était une très bonne amie, mais moins primordiale pour moi...
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