rebondissons là dessus, idée qui m'est souvent venue.
Si tout était parfait. Oui, si tout l'était. Si nous marchions dans un monde visuellement parfait...
Si les quartiers plus défavorisés étaient soigneusement entretenus, avec le même soin que les beaux quartiers... Deviendraient-ils plus agréables à vivre ? Faut-il mettre de l'argent dans le charme et l'agrément de ces quartiers alros que d'autres problèmes sont plus urgents ?
En même temps, ces légères imperfections, en ce qu'elles font aspirer à la perfection, ne sont-elles pas stimulantes ?
Je me souviens tout d'un coup des blogs que je lisais avant. Avant, il y a longtemps, quand j'avais à drie vrai plus de temps libre... et moins de choix. Tout le monde ne bloguait pas, loin s'en fallait. Les blogs que je lisais étaient Veuve Tarquine, Samantdi, Kozlika, Akynou.... Côté masculin, il y avait déjà, forcément, Maître Eolas, Swami Petaramesh (Assez curieusement, je ne peux plus du tout me connecter à son blog, qui semble pourtant toujours exister, depuis deux ans), Authueil, Koztoujours, C.Ginisty... pour ceux que je lisais.
Qui avait parlé de Blogeoisie à leur propos ? Je ne sais plus, mais c'était assez bien vu. Je tentais à l'époque de laissser des messages sur leurs blogs, espérant une réponse de leur part... mais mes propos ne furent jamais jugés dignes de réponse. Tant pis. J'ai ensuite beaucoup réfléchit à cette histoire de commentaire et de blog, et je me suis rendu compte qu'il y a tout un art du commentaire, dans la emsure où certains blogueurs répondront systématiquement tandis que d'autres non. J'avais avant du temps pour réfléchir à ça et j'en avais déduis des choses pas du tout aimables sur ces blogueurs snobs qui ne commentent pas. Depuis, je n'ai plus le temps de lrie des blogs, je peine à rédiger celui-ci et je pense à autre chose. Dufficile d'être aussi critique maintenant.
Cependant il y a une pose égoïste dans les blogs, que je ressens durement, moins maintenant, mais tout de même. Grâce à twitter heureusement on peut échanger avec légereté, dire des conneries, et encore (il faut le faire entre égaux, si on parle à un twittos très suivis, il y a de fortes chances qu'il ne réponde pas), mais au tout début des blogs, pour espérer qu'un blogueur vous réponde, il fallait je crois, soit le connaître personnellement, soit avoir un blog "digne d'intérêt", soit vraiment avoir la chance d'accrocher le regard du blogueur et de lui plaire pour lui répondre.
Du coup, alors qu'on parle de communication et d'échange à propos de blogs, il me semble qu'il n'y a pas de communication et d'échange. Ou plutôt, pas entre tout le monde.
Je ne veux pas les nommer car au fond je m'en moque, mais nombre de blogueurs que j'ai trouvé fascinants ne m'ont jamais répondu, me plaçant d'office, si je continuais à m'intéresser à eux, dans une position de groupie. En effet, dans mes commentaires, soit je disais que leur article me semblait pertinent, formidable, approprié et à quel point il avait du sens pour moi, soit je leur répondais, en les contredisant, ou en élargissant le débat. Tous les blogueurs à blog soigné, autonomes, ceux qui savent tripoter le code pour faire de beaux designs, ces blogueurs là ne m'ont jamais répondu. Mon enthousiame devait sembler frivole, gamin, et mes objectifs ou réponses superflues. Du coup, je me suis éloignée de ces blogs : l'impossibilité du dialogue me rendait la lecture du blog insupportable. Je lisais et me sentais frustrée de savoir que mes réactions retomberaient dans l'indifférence : comme de parler à quelqu'un, alors qu'il est parti et ne sait même pas que vous êtes là.
Puis j'ai eu un blog et pas toujours l'envie ou l'idée de répondre... Mais j'ai fait un effort.
J'ai alors constaté que ceux qui communiquent le plus sont ceux dont les blogs sont quelconques, peut-être parce que le fait de ne pas soigner son blog (l'apparence) dénote une absence d'égo et que seul existe le désir de s'exprimer.
J'ai constaté que que ces blogs à blogs quelqconques (comme celui-ci) répondent aprfois en venant commenter chez vous, du coup un lien, ténu, se crée...
Mais globalement, et à quelques exceptions près, un blog ne favorise pas la communication : enf ait maintenant que je l'ai compris, je ne commente presque plus. Le blog est vraiment un lieu où s'étaler. Un journal en ligne.
(quel est l'intérêt de ce post ? Mais en faut-il un ?)
Bon alors ça aussi je vois trrrrrès bien ce dont il s'agit !
Mais je lutte (docteur), je lutte.
je fais preuve d'une bonne humeur presque insupportable.
On croit que c'est simple, de manger des crêpes !
Mais non !
Fanette nous analyse la Chandeleur en détails...
J'adore ce post de Fanette ! Je découvre.
Ça me rappelle, immédiatement, des Noël en famille, avec cette partie de ma famille que je vois peu...
C'était chez ma grand mère, qui passait tous les Noël chez sa soeur, la véritable âme de la famille.
Ou le tyran, comme on veut.
Une souer beaucoup plus vieille, à la fois austère et festive : elle lâchait son austérité les jours de fête.
Ma grand mère l'aidait et il y avait toute une effervescence. Il faisait chaud dans la maison et ça sentait bon. Mais quand on sortait dehors, ça sentait l'hiver et le froid.
Je connais ça.
Moi c'est en raison des horaires particuliers de monsieur.
les gens s'imaginent des choses... que c'est pénible.
Dommage qu'elle ne blogue plus.... Mais je ne peux en vouloir à quelqu'un de se décourager... Quoique, d'un autre côté, si. Mais non, c'est une blague !
Jour après jour
Oui, jour après jour, pas facile l'astreitne de tenir un blog, et pourtant je m'accorche, en espérant qu'un jour les mots vont me venir.
Ou plutôt que j'aurai le temps.
Je lis des trucs, je lñis, ça me donne des idées, mais je n'ai pas le courage d'écrire....
Ou plutôt que j'aurai le temps.
Je lis des trucs, je lñis, ça me donne des idées, mais je n'ai pas le courage d'écrire....
C'est toujours pareil
Ma résolution c'est de faire un régime. Pas un régime trop strict, je ne suis pas énorme, mais les fêtes... on connait. Je ne rentre plus dans pas mal de vètements, et ça me turlupine. Je ne vais pas me refaire une garde robe.
Il y a aussi l'aspect financier. On a un peu déliré, pour les fêtes, et ça coûte cher. Un retour aux basiques s'impose.
Il y a aussi l'aspect financier. On a un peu déliré, pour les fêtes, et ça coûte cher. Un retour aux basiques s'impose.
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